We were urged several times to do something about it, to use our legislation in order to put this whole thing in some form of mild regulation. Especially for over-the-top television, such as Netflix and so on, that there was sufficient Canadian content, that they would contribute to it, perhaps pay 5 per cent like other BDUs, broadcast distribution undertakings.
On nous a pressés à plusieurs reprises d'intervenir et de nous servir de nos lois pour encadrer toute cette question par une sorte de règlement peu contraignant, c'est-à-dire veiller à ce qu'il y ait suffisamment de contenu canadien — notamment dans le cas de la télévision par contournement, comme Netflix et tout le reste — et à ce que les fournisseurs y contribuent, peut-être à hauteur de 5 p. 100, comme d'autres entreprises de distribution de radiodiffusion.