On the basis of these measurements, Greece has a considerable amount of ground to make up in several areas (it has the highest energy intensity in the EU, very low labour productivity, a high unemployment rate, almost non-existent continuous learning, the lowest expenditure on education, research and the new technologies, the lowest level of internet access, very high telecommunications prices, a big gap between rich and poor Greeks, the second highest persistence of poverty, one of the highest rates of taxation of low-paid workers, etc.).
Sur la base de cette évaluation, la Grèce accuse des retards importants dans plusieurs domaines (elle a l'intensité énergétique de l'économie la plus forte de l'Union européenne, une productivité du travail très faible, un taux de chômage élevé, un système de formation permanente presque inexistant, les dépenses publiques consacrées à l'éducation, à la recherche et aux nouvelles technologies les plus modestes, le plus petit nombre de liaisons à Internet, un écart très important entre les revenus des plus riches et ceux des plus pauvres ; elle occupe la deuxième place en termes de persistance de la pauvreté, elle a l'une des fiscalités les plus
défavorables aux revenus les plus bas, ...[+++]etc.).