“The fact that the Canadian Tourism Commission is now in Vancouver means that it is located in a minority Francophone environment, which means that its efforts with regard to section 41 not only concern its pan-Canadian projects, but can also benefit from its proximity to western Canada” ([75])
De plus, il reconnaît que la consultation des communautés de langue officielle en situation minoritaire doit faire partie intégrante de sa stratégie en matière de langues officielles([74]). Comme le déménagement de la Commission canadienne du tourisme est plus récent, il est plus difficile de juger du degré d’implication de cette dernière au sein de la communauté francophone de la Colombie-Britannique.