In its report dated 4 February 2010, Amnesty International shows that parliamentarians, senators, lawyers, leaders of the opposition and journalists have been subject to arrest and arbitrary and illegal detention and that some were mistreated during their arrest, while the authorities have not conducted any enquiries.
Dans son rapport du 4 février 2010, Amnesty International montre que des parlementaires, des sénateurs, des avocats, des dirigeants de l’opposition et des journalistes ont fait l’objet d’arrestations et de détentions arbitraires et illégales, certains étant maltraités lors de leur arrestation, alors que les autorités n’ont mené aucune enquête.