The lack of democracy, the prominent role of both army and police, the very high electoral threshold of 10%, the failure to reform both the constitution and the law on political parties, the persecution and imprisonment of Kurdish politicians and militants; all the signs are that Ankara is clearly unable to deal with minority rights in a mature way.
Le manque de démocratie, le rôle prédominant de l’armée et de la police, le seuil de représentation parlementaire de 10 %, l’absence de réforme de la Constitution et de la loi sur les partis politique, la persécution et l’emprisonnement de dirigeants politiques et de militants kurdes sont autant de signes que le gouvernement d’Ankara est incapable d’aborder les droits des minorités avec maturité.