That problem has pretty well been resolved by the bill that was passed in the summer of 2012 that made it possible for anybody who comes in from a designated country — i.e., a country that has signed the UN refugee convention, is obligated to look after refugees the same as we are, is democratic and follows the rule of law — to be given a quick hearing and sent home quickly if they are not genuine refugees.
Ce problème a pratiquement disparu à l'été 2012 avec l'adoption d'un projet de loi. En vertu de cette mesure législative, quiconque vient d'un pays désigné — c'est-à-dire, un pays signataire de la Convention des Nations Unies, démocratique, respectueux de la loi et tenu de traiter les réfugiés de la même façon que nous — peut rapidement obtenir une audience et être renvoyé chez lui s'il n'est pas admissible au statut de réfugié.