This is why, unlike Mr Morillon and the decision of the Security Council, I think that we are wrong not to respond in the positive to Mr Brahimi and Mr Karzai’s request to step up the presence of the international peacekeeping force, to extend it temporarily and to widen its territorial jurisdiction.
C'est pour cette raison que, à la différence de mon collègue Morillon et de la décision du Conseil de sécurité, je pense qu'on a eu tort de ne pas répondre positivement à la demande de M. Brahimi et de M. Karzai de renforcer la présence de la force internationale, de l'étendre temporairement et d'élargir ses compétences territoriales.