Another side of the story is that shortly after this was tabled, the Canadian Association of Emergency Physicians condemned the bill as poor public policy, stating that the country's need for a gun registry is not based on crime prevention but, rather, on suicide prevention.
Il y a un autre aspect de l'histoire. Peu après le dépôt du projet de loi, l'Association canadienne des médecins d'urgence l'a condamné, estimant qu'il s'agissait d'une mauvaise politique publique et que le besoin d'un registre des armes d'épaule se fonde non sur la prévention du crime, mais plutôt sur la prévention du suicide.