On the same day, Ales Mikhalevich celebrated his 53rd birthday in prison. The simple reason for this is that he is a free man, a man who dared to enter the presidential contest and, in a dictatorship like Belarus, the penalty for making such gestures of freedom is to have one’s movements restricted and get sent to prison.
Le même jour, Ales Mikhalevich fêtait son 53e anniversaire en prison, et ce pour la simple raison que c’est un homme libre, qu’il a osé entrer dans la course à la présidence et que, dans une dictature comme la Biélorussie, la sanction pour de tels actes de liberté est la restriction de mouvement et l’emprisonnement.