The testimony that we have heard, however, forces the Committee to ask whether our present legal and policy frameworks on privacy and confidentiality, which generally serve the mentally competent well, can act against the best interests of those who, because of the nature and pervasiveness of mental illness and addiction, become partially or completely dependent on the multiple care providers they encounter along the continuum of care.
Les témoignages que nous avons entendus nous obligent cependant à nous demander si nos cadres juridiques et politiques actuels en matière de protection des renseignements personnels – qui, en règle générale, servent bien les personnes mentalement compétentes – peuvent aller à l’encontre des intérêts de ceux qui, à cause de la nature et de l’omniprésence d’une maladie mentale ou de la toxicomanie, deviennent partiellement ou entièrement dépendants de multiples fournisseurs de soins tout au long du continuum de soins.