I think Canadians would be frightened by that notion, and I'm wondering if we can't find a way to combine a standards-based approach—which no one would disagree with—with a proactive role on the part of government to at least do occasional inspections of programs, to do investigative work, to do scientific surveillance, so that Canadians can be assured of the organs that are being brought in or used for transplantation.
Comme cette solution risquerait d'être mal accueillie par les Canadiens, je me demande s'il ne serait pas possible d'adopter un modèle fondé sur des normes—avec lequel tout le monde serait d'accord—et d'encourager en même temps le gouvernement à jouer un rôle plus actif dans ce domaine, à effectuer, du moins à l'occasion, des vérifications, des inspections, des suivis, pour que les Canadiens puissent être rassurés quant aux organes qui sont prélevés ou utilisés à des fins de transplantation.