If, in addition, the applicable law is the law of Member State A (the lex loci damni principle of Article 6 of ‘Rome II’[5]), and the problem of the serving of legal documents abroad can be resolved, this second possibility of injunctive action is the easiest option to choose.
Si, de plus, le droit applicable est celui de l’État membre A (en vertu de la lex loci damni visée à l’article 6 du règlement «Rome II»[5]), et que la difficulté liée à la signification de documents légaux à l’étranger peut être surmontée, cette deuxième forme d’action en cessation est la plus simple à utiliser.