From a purely commercial perspective, acquiring a foreign program costs only a fraction of what it takes to produce a comparable Canadian product, and the hard reality is you simply cannot expect to recoup the costs of a home-made, prime-time drama by relying entirely on licence fees and advertising revenues, even over the long term.
D'un point de vue purement commercial, l'acquisition d'une émission étrangère ne coûte qu'une fraction du prix d'un produit canadien comparable, et la dure réalité est que l'on ne peut tout simplement pas espérer recouvrer le coût d'une dramatique destinée aux heures de grande écoute et réalisée au Canada sous la forme de droits de distribution et de recettes publicitaires, même à long terme.