At the same time, I recognise that the EU’s strict visa regime, which prevents ordinary Serbs from meeting with their counterparts in the European Union, acts as a brake on Serbia’s democratic progress, and contributes to xenophobia and nationalism.
En même temps, je reconnais que le strict régime communautaire en matière de visas, qui empêche les citoyens serbes ordinaires de rencontrer leurs homologues de l'Union européenne, agit comme un frein aux progrès démocratiques de la Serbie et contribue à la xénophobie et au nationalisme.