That is why, when the Prime Minister portrayed the Constitution as a path to change and promised a veto, as he did in Montreal, Quebecers were clearly expecting a constitutional veto, since Quebec always talks about this as a minimum.
C'est pourquoi lorsque le premier ministre évoquait, à Montréal entre autres, la Constitution comme voie de changement et lorsqu'il promettait un droit de veto, les Québécoises et les Québécois s'attendaient nécessairement et très clairement à un droit de veto constitutionnel, puisque c'est là le minimum constamment évoqué par le Québec.