Since I've been going through therapy, it's actually pathetic to listen to somebody in a psychology department say, “Well, we're just scraping by”, when I am really just the tip of the iceberg of what is really out there within the forces, people who are dealing with this as well.
Depuis que j'ai suivi une thérapie, je trouve dramatique d'entendre le personnel des services de psychologie dire qu'ils ne font qu'effleurer le problème, car je sais qu'un cas comme le mien n'est que la pointe de l'iceberg par rapport à tout ce qui se passe au sein de l'armée, à tous les soldats qui connaissent le même genre de problème.