A significant proportion of the total number of irregular migrants detected in these two regions included migrants of nationalities which, based on the Eurostat data, meet a high Union level recognition rate (in 2014, the Syrians and the Eritreans, for which the Union recognition rate is more than 75%, represented more than 40% of the irregular migrants in Italy and more than 50% of them in Greece).
Les migrants en situation irrégulière détectés dans ces deux régions étaient, en grande partie, des personnes possédant une nationalité qui, selon les données d’Eurostat, fait l'objet, à l'échelle de l'Union, d'un taux élevé de reconnaissance d'une protection internationale (en 2014, les Syriens et les Érythréens, pour lesquels ce taux de reconnaissance dans l’Union était supérieur à 75 %, représentaient plus de 40 % des migrants en situation irrégulière en Italie et plus de 50 % en Grèce).