Contrary to a widely-held belief, the likes of Sir Cliff Richard will not get a single penny out of the session players’ fund, and record labels such as EMI or Universal, which contribute to the session players’ fund, will have to make a profit on only 80% of gross turnover.
Contrairement à une croyance très répandue, les semblables de Sir Cliff Richard n’auront pas un centime du fonds destiné aux musiciens de studio, et les maisons de disques comme EMI ou Universal, qui contribuent à ce fonds, devront faire un bénéfice sur seulement 80 % du chiffre d’affaires brut.