I considered the religious ceremony to be a religious matter and I was simply functioning as a clerk of the province, in the case of Ontario, in signing a document because Canadian Jews respect the laws of the state and do not regard them as being in contradiction to their religious principles.
J'ai considéré que la cérémonie religieuse était une affaire religieuse et que j'agissais uniquement en tant que greffier de la province, dans ce cas-ci de l'Ontario, lorsque je signais un document, parce que les juifs canadiens respectent les lois de l'État et ne considèrent pas que ces lois sont incompatibles avec leurs principes religieux.