According to that approach, the right to security trumps all the other rights on the basis that if you do not have the right to security, all the other rights are meaningless, such as freedom of expression, freedom of association, freedom of conscience and so on.
En vertu de ce principe, le droit à la sécurité a préséance sur tous les autres droits. Cela part du principe que, si l'on n'a pas droit à la sécurité, tous les autres droits deviennent sans aucune valeur, comme ce serait le cas de la liberté d'expression, d'association, de conscience, ainsi de suite.