NGOs and human rights defenders were and still are continually harassed and threatened while President Uribe keeps on trying to change the legislation in order to provide a legal framework through the implementation of the IMA dictates. In this context, Álvaro Uribe has started to unfold his negotiation process with the paramilitary while his policy of privatization continues—for example, TELECOM, Inravision, Ecopetrol, etc.—under terms that militate against unions, labour rights, state ownership, and sovereignty.
Les ONG et les défenseurs des droits de la personne étaient et sont toujours continuellement harcelés et menacés tandis que le président Uribe continue d'essayer de modifier la législation en vue de créer un cadre juridique favorisant la mise en oeuvre des diktats du FMI. Dans ce contexte, Álvaro Uribe a entamé des négociations avec le secteur paramilitaire, tout en poursuivant sa politique de privatisation—par exemple, TELECOM, Inravision, Ecopetrol, etc.—à des conditions défavorables aux syndicats, aux droits des travailleurs, à la propriété de l'État et à la souveraineté.