The Committee heard in 2002 that an estimated 15% of longshoremen and 36% of checkers at the Port of Montreal have criminal records, that out of a sample of 500 longshoremen at the Port of Halifax, 39% had criminal records, and that 28 out of a sample of 51 workers at the Port of Charlottetown (almost 54%) had criminal records.[67]
Le Comité a appris en 2002 qu’environ 15 % des débardeurs et 36 % des pointeurs au port de Montréal avaient un casier judiciaire et que c’était le cas également de 39 % des débardeurs au port de Halifax (sur un échantillonnage de 500) et d’environ 54 % des travailleurs (28 sur un échantillonnage de 51) au port de Charlottetown[149].