Since that time, the committee has heard from people who support the view that sex workers are not able to speak on their own behalf, people who view sex workers as second-class citizens, and those who conflate issues of migration and coercion with sex work.
Entre-temps, le comité a recueilli le point de vue de certaines personnes qui considèrent que les travailleuses du sexe ne sont pas en mesure de parler en leur propre nom, des gens pour qui les travailleuses du sexe sont des citoyennes de deuxième classe et qui font l'amalgame entre les problèmes de migration et le travail sexuel d'une part et, d'autre part, les problèmes de migration et la coercition.