It accuses the USA, in particular, of flouting human rights and undermining the ban on torture by practising it under another name, such as 'sensory deprivation' or 'gross maltreatment'.
Ce rapport accuse, plus précisément, les États-Unis de bafouer les droits de l’homme et de saper l’interdiction de la torture en lui donnant une autre appellation, telle que «privation sensorielle» ou «mauvais traitements aggravés».