We know full well that the so-called “strikers”, those who work for criminal motorcycle gangs, run and coordinate the production of cannabis in the fields, impose a reign of terror on farmers and their families, break their machinery and settle their accounts when farmers speak up.
On sait pertinemment que ce qu'on appelle communément les «strikers», par exemple, ceux qui travaillent pour les groupes de motards criminalisés, dirigent et coordonnent la production de cannabis dans les champs, se chargent de faire régner un régime de terreur auprès des agriculteurs et de leur famille et se chargent aussi de briser de la machinerie ou de régler des comptes lorsqu'il y a des dénonciations.