I read in an article in The Toronto Star of May 30, 2006 that you, as the president of the association at the time, felt that the fee cap should be set high enough to allow payday loans to operate at a profit and that it should be left up to consumers to shop around.
Dans un article paru dans le Toronto Star du 30 mai 2006, on peut lire que lorsque vous étiez président de l'association, vous étiez d'avis que le plafond devrait être fixé assez haut pour permettre aux sociétés de prêt sur salaire de réaliser des profits, et qu'il appartient aux consommateurs de chercher le meilleur taux.