The question, in my view, is not: " Should we have a national highway program?" as some provinces have proposed, but rather: " How should we structure it, and how much federal money will be available?" I believe continuation of the program should involve acceptance of some common national principles and provide provinces with flexibility. Partnership with the private sector should also be part of the solution.
À mon avis, la question n'est pas: «Devrons-nous avoir un programme routier national?» comme l'ont proposé certaines provinces, mais plutôt: «Comment devrons-nous structurer le programme et quels seront les fonds qui contribueront au maintien de ce programme, lequel devrait supposer que l'on accepte certains principes nationaux communs et que l'on accorde beaucoup de souplesse aux provinces?» Des partenariats avec le secteur privé devraient également faire partie de la solution.