Second, in the travels we've done across the country, I believe 80% of our discussion focused on the word “refugee”, and that seems to be a hot spot with all of our employees, a hot spot with the public, the press, and all of the entities that deal with the whole background of immigration.
Deuxièmement, au cours des voyages que nous avons faits au Canada, je crois que 80 p. 100 de nos discussions portaient sur les réfugiés et il semble que ce soit là une source de problèmes pour tous nos employés, le public, les médias et tous ceux qui s'intéressent à l'immigration.