At the same time, it was announced that the Banque Nationale de Paris (BNP), for example, would lose much less than the EUR 6 billion in profits expected this year and that, without the exorbitant rates of interest, Greece’s deficit would be 1.5% of GDP and not 8%.
Sauf que, dans le même temps, on apprend que la BNP, par exemple, y perdrait beaucoup moins que les 6 milliards de bénéfices attendus cette année. Ou que, sans la charge exorbitante des intérêts, le déficit de la Grèce serait de 1,5 % du PIB et non de 8 %.