In Senegal , Canadian bilateral aid accounts for 6% of that country’s total bilateral assistance, in Kenya it is 3%.[143] As Ms. Goldfarb informed the Committee: “This is problematic because the dispersion spreads CIDA’s managerial expertise thinly across many recipients.
Au Sénégal, l’aide bilatérale canadienne compte pour 6 p. 100 de l’aide totale reçue par ce pays; au Kenya, elle n’est que de 3 p. 100.[143] Comme M Goldfarb l’a indiqué au Comité, c’est un problème parce que cette dilution a pour effet de saupoudrer l’expertise en gestion de l’ACDI dans les nombreux récipiendaires.