Professor Stairs argued that " we simply must recognize that our military contributions to NATO activities . have now reached the point at which they can hardly be expected to significantly reinforce our diplomacy, not, at least, in ways that matter" (28) It is worth asking, however, whether even a substantial increase in Canada’s contribution would lead to greater influence in NATO decision-making.
Comme l’a dit le professeur Stairs, « force est de reconnaître que nos contributions militaires aux activités de l'OTAN [ .] sont à ce point réduites que l'on peut difficilement s'attendre à ce qu'elles renforcent significativement notre diplomatie, en tout cas, pas d'une façon qui compte »(28). Il vaut la peine, cependant, de se demander si en accroissant de façon appréciable sa contribution à l’OTAN, le Canada aurait plus d’influence dans la prise de décision.