There was a sense in 2011—again, this was primarily youth who led the revolution—that the political system had failed them, that they needed to build a new political system, one that was responsive not to the needs of a few officials, or the president, or the narrow group around him, but to the broader society.
En 2011, les jeunes — je le répète, ce sont principalement eux qui ont mené la révolution — avaient le sentiment que le système politique avait trahi leur confiance et qu'ils devaient bâtir un nouveau système, qui répondrait aux besoins non pas d'une poignée de dirigeants, du président ou du groupe restreint qui l'entoure, mais aux besoins de la société dans son ensemble.