When we talk about the food crisis, as we did yesterday, and about the increasing scarcity of food and farmland for food-growing as a result of the production of biomass, and how this is a consequence of environmental policy, we should talk to the Brazilians, and to Latin American politicians.
Lorsque nous parlons de la crise alimentaire, comme nous l’avons fait hier, et de la rareté croissante de la nourriture et des terres arables consacrées à la production alimentaire en raison de la production de biomasse, ainsi que du fait qu’il s’agit d’une conséquence de la politique environnementale, nous devrions nous adresser aux Brésiliens et aux responsables politiques latino-américains.