SIRC concluded in 1992 that nothing of value was lost by the erasure of wiretap tapes; and then Michael Code, one of the lawyers who defended Bagri, said that was just nonsense.
Le Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité a conclu en 1992 qu'aucune information importante n'avait été perdue lors de l'effacement des enregistrements d'écoute électronique. Puis, Michael Code, l'un des avocats ayant défendu Bagri, est venu dire que cette dernière affirmation n'avait aucun sens.