I propose that, instead of granting farmers financial aid, we should grant them tax reductions and reductions in their social service and pension contributions relating to their activities. These expenses would otherwise be borne by the States and therefore, to a lesser extent, by the European Union.
Je suggère qu’au lieu d’accorder aux agriculteurs des aides financières, on leur accorde une réduction de la fiscalité, des coûts de sécurité sociale et de retraite liés à leur activité, des coûts qui seraient à la charge des États et, ensuite, de l’Union européenne.