While the bill attempts to deal with some technological matters that have gone way ahead of governance, Reformers also work for the day when we can bring this creaky institution of parliament into the cyber age of political accountability, using technology to more fully obtain political consent from an informed electorate who watches, engages and decides, often through electronic means.
Même si ce projet de loi tente de s'attaquer à des questions technologiques qui vont bien au-delà de l'art de gouverner, les réformistes déploient des efforts en pensant au jour où ils pourront faire entrer cette institution parlementaire vieille et raide dans l'ère cybernétique de la responsabilité politique, en utilisant la technologie permettant d'obtenir un consentement politique plus vaste d'un électorat informé qui surveille, s'engage et décide souvent par des moyens électroniques.