Mr. Stéphane Bergeron (Verchères—Les-Patriotes, BQ): Mr. Speaker, Jeannine Basile, of Telefilm Canada, admitted in a letter she wrote me yesterday that existing control systems had enabled Telefilm Canada to uncover “a few cases of overbilling”, and that companies that were “largely bogus (firms) could have existed at the time when programs to deduct depreciation costs were still around”.
M. Stéphane Bergeron (Verchères—Les-Patriotes, BQ): Monsieur le Président, Mme Jeannine Basile, de Téléfilm Canada, reconnaissait, dans une lettre qu'elle m'adressait hier, que les systèmes de contrôle en vigueur avaient permis à Téléfilm Canada de déceler «quelques cas de surfacturation», et que des entreprises ««plus ou moins bidon» [.] auraient pu exister à l'époque où les programmes de déduction pour amortissement étaient encore en vigueur».