My question is whether the government is willing to accept one national airline whose major shareholder and creditor is an American airline, which could easily treat it as a partly-owned subsidiary. In effect, when it comes time to allocate hangar space or landing rights or whatever, the influence of that major shareholder could penalize the Canadian carrier to the advantage of the American carrier's other operations.
J'ai demandé si le gouvernement était prêt à accepter une ligne aérienne nationale dont le principal actionnaire et créancier serait une compagnie aérienne américaine qui pourrait facilement la traiter comme une filiale de moins de 100 p. 100. Dans la pratique, quand le moment sera venu d'allouer les droits d'atterrissage, de la place dans les hangars ou quoi que ce soit d'autre, l'influence de ce principal actionnaire pourrait pénaliser le transporteur canadien en faveur des autres opérations du transporteur américain.