So if you decriminalize those practices and rely on the abuse of dominance provisions, first of all, the commissioner would benefit from a lower burden of proof, and secondly, if you beef up the abuse of dominance provisions—for example, by inserting an administrative penalty—then you would still have that deterrent effect that is currently in the criminal law.
Donc, si l'on décriminalise ces pratiques et que l'on invoque les dispositions concernant l'abus de position dominante, premièrement, le commissaire aura moins de difficultés à offrir des preuves suffisantes et, deuxièmement, si l'on renforce les dispositions sur l'abus de position dominante—par exemple, en ajoutant une sanction administrative—on aboutira au même effet dissuasif que celui que produisent actuellement les mesures pénales.