Does the minister not understand that to apply these criteria on language spoken at home elsewhere in Canada would be devastating for the francophone and Acadian communities, as they would considerably reduce their numbers and, accordingly, the services available to them?
Le ministre ne comprend-il pas que l'application du critère de la langue d'usage ailleurs au Canada aurait un effet dévastateur auprès des communautés francophones et acadienne, réduisant grandement leur nombre et, de ce fait, les services qui leur sont donnés?