I simply cannot believe that the e-mails, et cetera that we have seen coming out of what we used to call the ``top-drawer'' firms in New York — the investment dealers — could happen with the calibre of people leading our investment dealer firms in Canada.
Je ne peux tout simplement pas croire que les courriels et autres documents envoyés par les sociétés les plus réputées de New York, les cabinets de courtage, pourraient l'être par des gens du calibre de ceux qui dirigent nos maisons de courtage au Canada.