When the tourist buses come into those towns, rattling through those towns at 60 miles an hour, a big Mercedes bus with a cloud of dust and pebbles behind it going through the village, if they would stop in those villages and spend some money at local stores, shops, build up trades in pottery or weaving with monarch butterfly motifs on, and so on, if people in those communities could derive some sort of ecotourism money from the presence of the resources they have, I think it would be a great step, as opposed to people sitting there and saying, “Well, gee, starving people are chopping down trees”.
Plutôt que de traverser ces villes à 100 kilomètres à l'heure, le
s autobus pleins de touristes, de gros autobus Mercedes qui soulèvent un nuage de poussière et des volées d
e cailloux dans les rues des villages, devraient s'y arrêter pour que les touristes achètent dans les magasins et les boutiques locales, fassent tourner le commerce de poteries et de tissus imprimés avec des motifs de monarques, etc. Si les habitants de ces localités pouvaient rentabiliser en quelque sorte leurs ressources grâce à l'écotourisme, je pense que ce sera
...[+++]it un grand pas en avant et que l'on n'aurait plus à s'exclamer: «Tiens, voilà des gens affamés qui coupent des arbres».