I am continually surprised, moreover, that those who are the quickest to call for an extension of a free-trade area, imposing the liberal model on terms that are extremely unfavourable for the countries of the South, are also the first to speak of interference, even neo-colonialism, with regard to human rights issues.
Je m'étonne d’ailleurs toujours que les plus prompts à revendiquer l'extension d'une zone de libre-échange, par l’imposition d'un modèle libéral aux termes très défavorables aux pays du Sud, soient toujours les premiers à parler d'ingérence, voire de néo-colonialisme, quand il s'agit des droits de l'homme.