It ranked Canada as a trendsetter in the area of open data, but a trendsetter behind the U.K. and behind the U.S. Their metrics, which I haven't had time to critically evaluate, put us behind those two countries because of such things as the lack of diversity or breadth in the data sets that are out there—that goes back to the point I made earlier about the dominance of geospatial data—and also the lack of a good forum for engagement and lack of a good mechanism for ongoing, sustained engagements.
Il a classé le Canada comme faisant partie des pionniers en matière de données ouvertes, mais un pionnier qui arrive derrière le Royaume-Uni et les États-Unis. Les paramètres de mesures, que je n'ai pas eu le temps d'évaluer de façon critique, nous placent derrière ces deux pays en raison de critères comme le manque de diversité ou de portée des jeux de données — cela revient à ce que j'ai dit plus tôt sur la prédominance des données géospatiales —, mais aussi l'absence de tribune et de mécanisme propices à des engagements soutenus.