Similarly, the Treaty of Maastricht, the draft Constitutional Treaty and the faltering Treaty of Lisbon cannot be separated from the issues surrounding the free movement of services, that is to say from the recurring debate about which of the two deserves stronger protection: the four fundamental freedoms or social rights, even to the detriment of one another.
De même, le traité de Maastricht, le projet de traité constitutionnel et le chancelant traité de Lisbonne ne peuvent faire l’impasse sur les questions entourant la libre circulation des services, c’est-à-dire du débat récurrent sur la question de savoir lequel des deux mérite la plus forte protection: les quatre libertés fondamentales ou les droits sociaux, même à leur détriment réciproque.