Avant toute chose, il s’agit d’indemniser ceux qui ont subi un préjudice ; ensuite il faut pou
rsuivre le dialogue avec les États-Unis (comm
e tout le monde sait, il vaut mieux un mauvais arrangement qu’un bon procès, surtout si l’on pense au nombre d’années que durerait le procès et à la ruine de nos récoltes entre-temps). Et enfin, il faut lancer dès que possible la procédure au sein du Comité 133, et j’insiste, plus comme une arme de persuasion et de négociation à utiliser à la table du dialogue avec les États-Unis, qu’avec l’intention de commencer une
...[+++]procédure qui se terminerait aux calendes grecques.