An abolition of the permanent status of existing OTE staff — which could have enabled OTE to reduce its workforce like any other company — would have given rise, according to the Greek authorities, to serious legal constitutional concerns and was therefore discarded as an unrealistic option.
L’abolition du «statut permanent» du personnel actuel de l’OTE — qui pourrait permettre à l’OTE de réduire ses effectifs comme toute autre entreprise — créerait, selon les autorités grecques, de sérieux problèmes juridiques de nature constitutionnelle; elle a donc dû être rejetée pour manque de réalisme.