Not only an international board of enquiry into what has taken place, not only a clear schedule for restoring democratic rules – because this interim government, by its very definition, is not sanctioned as a legitimate government by the popular vote – but also reforms to oppose corruption firmly and effectively, and ultimately to make Kyrgyzstan independent from the judiciary, which is very far removed from the current situation.
Il faut non seulement une commission d’enquête internationale qui examine ce qui s’est passé, non seulement un programme clair concernant le rétablissement des règles démocratiques - puisque, par définition, ce gouvernement provisoire n’est pas reconnu comme un gouvernement légitime choisi par la population -, mais également des réformes destinées à lutter fermement et efficacement contre la corruption et pour établir finalement au Kirghizstan un pouvoir judiciaire indépendant, ce qui est bien loin de la situation actuelle.