No one called me homophobic when I supported the hate crimes legislation, which included sexual orientation as something that should be factored into a violent crime, because I know, as most Canadians do, that it's all too sad a reality that in this country people are sometimes subjected to violence specifically because of their sexual orientation.
Personne ne m'a traité d'homophobe quand j'ai appuyé le projet de loi sur les crimes motivés par la haine qui ajoutait l'orientation sexuelle au motif prévu par la loi, car je sais, à l'instar de la plupart des Canadiens, que c'est la triste réalité, qu'il arrive au Canada qu'on fasse l'objet d'attaque violente en raison de son orientation sexuelle.