The principle of presumption that someone with a mental health issue would not be criminalized, first and foremost, would go a long way toward encouraging provinces and communities to develop resources, and combined with national standards, would mean a greater chance that people would actually be able to access resources in the community.
Tout d'abord, ce serait un grand progrès que d'avancer en principe que toute personne souffrant de maladie mentale ne doit pas être criminalisée, car cela inciterait les provinces et les localités à se doter des ressources nécessaires grâce auxquelles, en plus des normes nationales en vigueur, les gens auraient une meilleure chance d'accéder à des ressources communautaires.